L’imprudence d’un passager à l’aéroport d’Alger lui coûte 3 500 dinars, une somme qui peut sembler insignifiante pour certains, mais qui représente une leçon mémorable pour celui qui en a fait l’amère expérience. Tout commence par un geste banal, presque quotidien, celui d’accompagner un proche jusqu’à l’aéroport d’Alger pour lui dire au revoir avant un vol. Rien d’exceptionnel en apparence, mais cette histoire rappelle qu’un détail ignoré peut rapidement se transformer en dépense imprévue. En déposant son parent, ce passager raconte à la rédaction de DNAlgérie qu’il pensait simplement utiliser l’espace de stationnement prévu à cet effet, sans se douter que quelques minutes allaient suffire pour lui coûter la somme exacte de 3 500 dinars.
Il explique avoir garé sa voiture à l’aéroport d’Alger, pensant qu’il s’agissait d’un parking classique où le tarif se calcule à l’heure ou à la demi-heure. Mais après à peine trente minutes, la surprise fut totale. Le ticket de paiement affichait un montant de 3 500 dinars, ce qui lui semblait exagéré, voire incompréhensible. Interrogé par nos soins, il montrait effectivement son reçu, preuve que la facture était bien réelle et qu’il ne s’agissait pas d’un malentendu. En réalité, le passager s’était trompé d’emplacement et avait confondu le parking ordinaire avec le dépose-minute de l’aéroport d’Alger, un espace particulier dont les règles sont très strictes et clairement affichées.
Le dépose-minute de l’aéroport d’Alger fonctionne selon un principe simple : dix minutes gratuites, puis une facturation immédiate et progressive dès que le temps imparti est dépassé. Entre dix et quinze minutes, le prix grimpe à 1 500 dinars, puis il continue d’augmenter de manière exponentielle si le véhicule reste plus longtemps. Dans le cas de ce passager, les trente minutes de stationnement lui ont donc valu une addition salée de 3 500 dinars. L’imprudence d’un passager à l’aéroport d’Alger lui coûte 3 500 dinars, et cela démontre à quel point un simple manque d’attention peut avoir des conséquences financières disproportionnées.
Sur place, de grandes pancartes sont installées pour informer les conducteurs. Les règles sont écrites noir sur blanc et visibles de loin. Pourtant, dans la précipitation, il arrive que certains automobilistes les ignorent ou les sous-estiment. Ce fut le cas ici, et le principal intéressé reconnaît que la responsabilité ne revient pas à l’aéroport mais bien à lui-même. Il admet que, dans l’empressement de déposer son proche, il n’a pas prêté attention aux consignes. Ainsi, il s’est retrouvé à payer une somme bien supérieure à ce qu’il aurait déboursé dans un parking conventionnel.
Cette mésaventure illustre parfaitement la rigueur du système en place à l’aéroport d’Alger. Le but du dépose-minute est d’assurer une rotation rapide des véhicules, d’éviter les embouteillages à l’entrée et de garantir la fluidité du trafic. En maintenant des tarifs dissuasifs au-delà des dix minutes gratuites, la gestion du parking cherche à responsabiliser les usagers et à limiter les stationnements prolongés. C’est une règle connue, mais qui peut surprendre ceux qui ne l’ont jamais expérimentée. Et dans ce cas précis, l’imprudence d’un passager à l’aéroport d’Alger lui coûte 3 500 dinars, une somme qui aurait pu être évitée avec un peu plus de vigilance.
Pour beaucoup, cet incident est un rappel utile. Se rendre à l’aéroport est souvent synonyme de stress, de retard possible ou d’émotion liée aux départs. Dans cette agitation, les conducteurs négligent parfois les détails pratiques. Pourtant, il est essentiel de prendre quelques instants pour lire les panneaux, comprendre les tarifs et anticiper les choix de stationnement. La mésaventure de ce passager prouve que l’économie de temps ne justifie pas toujours le coût supplémentaire que l’on peut devoir assumer ensuite.
Dans les faits, si le conducteur avait simplement choisi le parking classique de l’aéroport d’Alger, il aurait payé 0 dinar pour la même durée de trente minutes. Mais la confusion entre les deux zones, accentuée par l’urgence du moment, a entraîné cette facture de 3 500 dinars. Ainsi, même si l’histoire prête à sourire pour certains, elle constitue aussi un avertissement pour tous ceux qui prévoient de déposer un proche à l’aéroport dans les prochains jours.