Une anecdote pour le moins inattendue a récemment égayé l’aéroport international d’Alger, impliquant un voyageur français confronté à une situation pour le moins cocasse : il a dû retirer son pantalon devant un groupe de policiers, le tout à cause… d’un briquet oublié dans sa poche.
Dans une vidéo mise en ligne par sa compagne algérienne, cette histoire rocambolesque est relatée avec une dose d’humour et de dérision. « Il s’est passé une dinguerie, Thibault avait un briquet coincé dans sa poche. Ils ont cru qu’il cachait quelque chose dans son pantalon. Suite à cela, ils l’ont mis sur le côté, et il a retardé tout le monde », raconte-t-elle, visiblement amusée par la situation. « Il a dû enlever son pantalon dans une cabine un peu spéciale au niveau de l’aéroport international d’Alger, dans laquelle il y avait un tas de policiers », ajoute-t-elle, décrivant le scène digne d’un sketch comique qu’a vécu son conjount français.
La réaction du protagoniste de cette histoire ne s’est pas fait attendre. « C’était super génial », ironise-t-il, prenant avec humour cette péripétie pour le moins inattendue. Car si la situation aurait pu être embarrassante pour certains, Thibault semble avoir pris la chose avec légèreté, transformant ainsi cette mésaventure en une anecdote hilarante à partager avec les internautes.
Il est important de souligner que ce genre d’incident pourrait arriver dans n’importe quel aéroport à travers le monde. Les mesures de sécurité sont rigoureuses, et parfois, des situations incongrues peuvent survenir.
« Ils peuvent enlever le pantalon aux touristes » : le PDG de l’aéroport international d’Alger s’emporte
Une tempête de réactions a secoué la communauté des voyageurs et les habitants d’Alger suite aux déclarations percutantes du PDG de la société de gestion de l’aéroport international d’Alger, Mokhtar Said Mediouni. Dans une interview diffusée hier soir sur une chaîne de télévision privée algérienne, Mediouni a abordé avec fermeté la question des tarifs exorbitants imposés par les chauffeurs de taxi opérant autour de l’aéroport algérois.
L’indignation était palpable alors que Mediouni exposait la réalité des tarifs pratiqués, dénonçant fermement la surfacturation abusive pour des trajets aussi courts que celui de l’aéroport d’Alger vers le centre-ville. « Un petit trajet de l’aéroport d’Alger vers Alger centre est facturé à 2500 dinars, c’est énorme », s’est-il exclamé, exprimant son désarroi face à cette situation alarmante.
Cependant, ce qui a le plus choqué Mediouni, ce sont les récits de certains voyageurs confrontés à des comportements abusifs et prédateurs de la part de certains chauffeurs de taxi. « Certains chauffeurs de taxi peuvent même essayer de leur enlever le pantalon et les laisser complètement à poil », a ajouté avec gravité le premier responsable de l’aéroport international d’Alger, soulignant la vulnérabilité des voyageurs face à de telles pratiques inacceptables.
Les paroles sans équivoque de Mediouni ont captivé l’attention du public, déclenchant une réaction en chaîne de la part des voyageurs qui ont partagé leurs propres expériences similaires de tarifs exorbitants et de comportements déplorables de la part des chauffeurs de taxi. Cette réponse collective a amplifié l’appel à l’action lancé par le PDG de l’aéroport, plaidant en faveur d’une régulation plus stricte des tarifs des taxis.
Mais Mediouni ne se contente pas de dénoncer, il propose également des mesures concrètes pour remédier à cette situation inacceptable. « C’est nous qui leur donnons l’agrément pour se retrouver dans l’aéroport. Je leur ai envoyé un avertissement, et s’ils persistent dans leur démarche, on va leur retirer l’agrément », a-t-il affirmé avec détermination. Cette menace claire souligne la volonté de l’aéroport d’Alger de protéger les intérêts des voyageurs et de garantir des services de transport équitables et sécurisés.
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