Le mercredi 9 avril 2025 a été marqué par une perte profondément ressentie dans les rangs de l’Armée nationale populaire (ANP), avec l’annonce du décès du Lieutenant-colonel Djoulem Lakhdar, Chef d’État-major d’un bataillon d’infanterie relevant du secteur militaire d’El Oued, situé dans la 4e Région militaire. La disparition de cet officier supérieur suscite une vive émotion dans les milieux militaires et civils, tant pour sa position stratégique que pour son engagement au service de la nation. La réaction du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, n’a pas tardé, témoignant de l’importance de cet événement dans la vie institutionnelle du pays.
En sa qualité de Chef suprême des Forces armées et ministre de la Défense nationale, le président Tebboune a adressé un message de condoléances empreint de solennité et de compassion à la famille du défunt ainsi qu’à l’ensemble des membres de l’Armée nationale populaire. Ce message, rendu public le jour même du décès, exprime la douleur de la nation face à la perte d’un officier qui occupait une fonction clé dans le dispositif de défense nationale, en particulier dans une région aussi stratégique que celle d’El Oued, au sud-est du pays. La 4e Région militaire, qui couvre une large portion du territoire national, joue un rôle essentiel dans le maintien de la sécurité, notamment dans les zones frontalières, et la coordination des unités opérationnelles y est cruciale. Dans ce contexte, le rôle du Chef d’État-major de bataillon, comme celui qu’occupait le Lieutenant-colonel Djoulem Lakhdar, est fondamental dans la gestion et la supervision des missions quotidiennes des troupes sur le terrain.
Le message du président de la République a rappelé que cette perte ne concerne pas seulement une famille endeuillée, mais l’ensemble de la grande famille de l’ANP. Il y affirme : « Suite au décès du Lieutenant-colonel Djoulem Lakhdar, Chef d’Etat-major d’un bataillon d’infanterie relevant du secteur militaire d’El Oued en 4e Région militaire, survenu mercredi 9 avril 2025, et en cette douloureuse épreuve, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, présente ses sincères condoléances à la famille du défunt, ainsi qu’à tous les éléments de l’Armée nationale populaire, priant Allah Tout-Puissant de lui accorder Sa sainte miséricorde, de l’accueillir en Son vaste paradis et de prêter aux siens patience et réconfort. A Allah nous appartenons et à Lui nous retournons. » Ce message, formulé dans un langage institutionnel précis, traduit à la fois la gravité de la situation et le respect dû à un homme qui a servi son pays avec loyauté.
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La disparition du Lieutenant-colonel Djoulem Lakhdar survient à un moment où les défis sécuritaires demeurent nombreux, et où la stabilité des régions frontalières constitue une priorité majeure pour les hautes autorités militaires. Les officiers comme lui sont des piliers dans l’organisation opérationnelle, garants de la discipline et de l’efficacité des unités placées sous leur responsabilité. Si les circonstances exactes de son décès n’ont pas été détaillées dans le communiqué officiel, la réaction présidentielle souligne la reconnaissance de l’État pour les services rendus par cet officier supérieur, dont la mémoire restera gravée dans les annales de l’institution militaire.
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La communauté militaire, particulièrement celle affectée au niveau de la 4e Région, est en deuil, tout comme la nation entière. Le Lieutenant-colonel Djoulem Lakhdar laisse derrière lui le souvenir d’un engagement sans faille au service de l’Algérie. Son parcours professionnel, bien que brièvement évoqué dans les annonces officielles, témoigne d’un dévouement constant à la mission de défense du territoire national. En cette période de recueillement, le message du président vient rappeler les valeurs de solidarité, de respect et de fidélité à la patrie qui unissent les forces armées algériennes et renforcent leur cohésion, même dans l’épreuve.
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Alors que les hommages se succèdent au sein de la hiérarchie militaire et que les préparatifs pour ses funérailles s’organisent dans la discrétion propre aux milieux de la défense, la mémoire du Lieutenant-colonel Djoulem Lakhdar est désormais associée à l’histoire des officiers tombés en service ou après une vie consacrée à la protection de l’État. Sa disparition, survenue dans un cadre officiel, vient rappeler l’importance de chaque maillon de la chaîne militaire et le rôle fondamental que jouent les chefs d’unité dans la stabilité et la sécurité du pays.