En exécution directe des instructions fermes du président Abdelmadjid Tebboune, un tournant décisif vient d’être opéré en Algérie en faveur des femmes. Le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition féminine, dirigé par la ministre Soraya Mouloudji, a dévoilé le guide juridique pour la protection et la promotion de la femme, fruit d’un travail minutieux mené en étroite collaboration avec le ministère de la Justice. Ce guide représente une réponse concrète à l’exigence exprimée par Tebboune en faveur des femmes en Algérie, et reflète la volonté politique affirmée de faire respecter les droits fondamentaux des femmes dans toute l’Algérie, comme souhaité par Tebboune lui-même.
Ce document, riche et détaillé, s’inscrit dans le cadre des droits consacrés par la Constitution algérienne, révisée à plusieurs reprises, et qui établit le principe d’égalité entre les citoyens. Les femmes, longtemps marginalisées dans certains domaines, voient désormais leurs acquis reconnus, protégés et promus grâce à ce nouveau texte de référence. Tebboune a mis en avant la nécessité d’ancrer l’égalité réelle dans toutes les sphères de la société, et l’Algérie semble désormais engagée sur ce chemin, avec un accent particulier sur la participation politique des femmes, leur sécurité, et leur autonomie économique.
Le guide juridique vient consolider l’arsenal législatif en place en détaillant une série de textes portant sur la vie quotidienne des femmes en Algérie. Il traite notamment des lois relatives à la famille, aux procédures liées au divorce, à la garde des enfants, et à l’accès au Fonds de pension alimentaire. Le Code du travail et les dispositions relatives à la retraite sont également abordés, tout comme les lois criminalisant la violence sous toutes ses formes : violence physique, psychologique, économique ou encore institutionnelle. Dans cette optique, Tebboune a insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de protéger les femmes dans l’Algérie moderne, en garantissant leur sécurité par des lois claires et des procédures rigoureuses.
Le volet économique n’est pas en reste, puisque le guide vise aussi à outiller les femmes algériennes, notamment rurales, pour qu’elles puissent s’émanciper grâce à l’entrepreneuriat, aux projets d’investissement et à leur participation dans la vie économique. Cela s’inscrit dans la vision de Tebboune, qui souhaite une Algérie où les femmes prennent pleinement leur place dans le développement du pays. La promotion de l’autonomie financière des femmes est perçue comme un levier essentiel pour lutter contre la précarité et renforcer leur pouvoir de décision.
L’éducation, la santé et l’accès aux services publics font aussi partie intégrante de ce guide. Les femmes ont droit, comme le rappelle le texte, à un accès équitable à l’éducation dès le plus jeune âge, à des soins de santé de qualité, et à une formation continue qui leur permettra de participer activement à la société. Tebboune a souligné que la prospérité de l’Algérie dépendra aussi de la capacité du pays à intégrer pleinement les femmes dans toutes ses politiques nationales.
Le guide n’ignore pas non plus les défis que rencontrent les femmes en situation de handicap. Le texte comprend des mesures spécifiques pour assurer leur inclusion et leur protection contre toute forme de discrimination. Il inclut également des mécanismes de lutte contre le discours de haine et le rejet social, deux fléaux que le gouvernement, sous l’impulsion de Tebboune, veut éradiquer dans l’Algérie actuelle.
Avec ce guide, l’Algérie concrétise les engagements pris par Tebboune envers les femmes, en posant les bases d’un système juridique transparent et accessible à toutes. Pour celles et ceux qui souhaitent consulter l’intégralité du document, le ministère invite à cliquer sur le lien suivant :
Ainsi, ce guide est bien plus qu’un simple document administratif : il est la preuve tangible que les femmes, en Algérie, peuvent compter sur Tebboune pour faire entendre leur voix, faire respecter leurs droits, et assurer leur place dans une société en pleine mutation. Grâce à Tebboune, les femmes d’Algérie voient aujourd’hui leurs aspirations reconnues par un État qui agit.