Immigration – Algérie visas et voyages – Ben Blake, célèbre Roi français du Road Trip à moto, a pris une décision radicale en laissant tout derrière lui pour partir à la découverte de l’Algérie. Cette décision a été partagée avec le public dans une vidéo captivante de plus de 40 minutes, mise en ligne sur sa chaîne Youtube.
Cet amoureux des aventures à moto a entrepris un voyage en Algérie suite à une invitation qui lui avait été lancée par Mounir, un autre passionné de moto résidant à Alger. Malgré ses doutes initiaux, Ben Blake s’est décidé à accepter l’invitation et a entrepris les démarches nécessaires pour obtenir son visa au consulat d’Algérie.
À travers un documentaire en deux parties, Ben Blake partage une aventure époustouflante dans un pays que beaucoup considèrent comme une destination peu fréquentée. Ce documentaire offre une perspective authentique et approfondie sur l’Algérie, couvrant les défis administratifs auxquels le motard a dû faire face dès son entrée dans le pays, ainsi que sa découverte de l’accueil chaleureux de la population, la richesse de la culture et la délicieuse cuisine locale.
L’Algérie, un pays risqué ? Ben Blake précise
Il est à signaler que, Ben Blake a initié un changement majeur dans sa vie en 2018 avec son célèbre « J’ai tout quitté pour un road trip ». Cette étape marquante a ouvert les portes d’une nouvelle existence, axée sur les aventures en moto, et a depuis évolué pour devenir une véritable carrière. Dans une récente interview avec Motoservices (MS), Ben Blake partage son parcours et ses projets à venir.
MS : Pour toi, l’aventure a commencé en 2018 avec « J’ai tout quitté pour un road trip », marquant un gros changement dans ton existence. Aujourd’hui, as-tu trouvé ta nouvelle vie dans ce que tu fais ?
BB : Oui, clairement, c’est devenu mon quotidien, mon métier. Au début, il s’agissait de vidéos de voyage exploratoire, mais progressivement, cela a évolué vers un format documentaire, comme c’est le cas avec mon dernier projet en Algérie. J’ai approfondi ma recherche pour comprendre ce qui se passe là-bas, me renseignant sur les us et coutumes, et comment la moto est pratiquée dans ce pays. Ainsi, mes productions évoluent progressivement vers un format documentaire. Les épisodes deviennent plus longs, par exemple, la première partie de mon voyage en Algérie dure presque 50 minutes !
MS : Avec tout ce que l’on entend sur l’Algérie, je suppose que de nombreuses personnes t’ont mis en garde concernant ce projet. Mais tu es tout de même parti…
BB : Ce côté aventure et risque m’excitait un peu, mais c’était surtout ma curiosité qui m’a motivé, tout comme pour mon voyage en Roumanie. J’ai partagé mon projet avec mes proches, et tout le monde m’a fortement déconseillé de m’y rendre. Pour moi, cela signifiait « Vas-y ! » C’était une invitation à explorer et à découvrir quelque chose d’exceptionnel.
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