Ines Nayli, une influenceuse algérienne, a partagé récemment une histoire pour le moins inhabituelle survenue à l’aéroport de Paris Charles de Gaulle (CDG). Alors qu’elle s’apprêtait à prendre son vol pour rentrer chez elle à Alger, elle a été approchée par un homme dont la demande a suscité à la fois la perplexité et l’indignation.
« Je suis choquée. J’étais à CDG et j’ai senti qu’un homme me suivait. Il m’a demandé si j’allais à Beyrouth, j’ai répondu que non, je partais en Algérie. Il m’a alors dit que c’était super important, que je devais lui permettre de m’embrasser les pieds là tout de suite en urgence, car il avait perdu un pari avec des amis. Il a insisté », raconte Ines Nayli.
La situation déjà troublante a pris une tournure encore plus étrange lorsque Ines a sorti son téléphone pour filmer l’incident. L’homme a rapidement pris la fuite. C’est alors qu’Ines, toujours sous le choc, s’est rendu compte de la présence de policiers à proximité. « En me retournant, alors que je tremblais, j’ai vu des policiers. Ils m’ont dit qu’ils le connaissaient bien. Ils m’ont demandé si je voulais déposer plainte, mais j’ai dit non », explique-t-elle.
Cette expérience déconcertante a laissé Ines profondément perturbée. « Je sais que ce genre de personnes existe, j’en ai reçu des messages sur les réseaux sociaux, mais je n’ai jamais vu ça dans la vraie vie », confie-t-elle.
@dnalgerie
Mésaventure choc de l’Algérienne à Paris CDG : un autre fétichiste mis hors d’état de nuire
Un trajet en train qui aurait dû être banal s’est transformé en un véritable cauchemar pour une jeune voyageuse de 22 ans. Ce jour-là, sur la ligne reliant Paris à la Normandie, elle a été confrontée à un individu aux penchants fétichistes des pieds, une situation traumatisante qui met en lumière les dangers qui peuvent se cacher dans les espaces publics.
Le récit de cette mésaventure commence lorsque la jeune femme, assise tranquillement dans le train, est abordée par un homme de 43 ans. Ce dernier, du nom d’Arnaud, lui adresse des paroles étranges, exprimant son intérêt pour ses chaussures et lui demandant de les lui montrer. Sans se méfier, la voyageuse accepte, ne se doutant pas de ce qui allait suivre.
Après avoir examiné la chaussure droite, Arnaud demande à la jeune femme de retirer sa chaussette et de lui montrer son pied gauche. Ce geste innocent se transforme rapidement en agression lorsque Arnaud commence à masser le pied de la voyageuse tout en tentant d’introduire sa main dans son pantalon, provoquant la panique chez sa victime qui s’enfuit aussitôt.
L’incident ne s’arrête pas là, car la jeune femme alerte les autorités qui interviennent rapidement, arrêtant Arnaud en gare de Mantes-la-Jolie, en région parisienne. C’est là que les aveux de ce dernier révèlent un passé trouble, marqué par de nombreuses condamnations pour des agressions similaires.
Arnaud, originaire d’Egypte, se décrit comme un fétichiste des pieds, avouant ne pas pouvoir contrôler ses pulsions. Ses paroles laissent transparaître une certaine détresse, témoignant de son incapacité à expliquer ou à comprendre l’origine de ses actes. Malgré ses excuses et ses promesses de vouloir se soigner, son comportement récidiviste soulève des questions sur l’efficacité des mesures prises pour le protéger lui-même et la société.
Le tribunal, confronté à un casier judiciaire déjà bien chargé, rend son verdict : 15 mois de prison ferme pour Arnaud. Une décision qui souligne la gravité de ses actes et l’urgence d’une prise en charge médicale adaptée.
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