Immigration – Algérie visas et voyages – L’aveu d’un père de famille kabyle au sujet de sa fille unique est rapidement devenu viral sur les réseaux sociaux. Lors d’une interview accordée à un journaliste du média El Hayat TV à Alger, le père a été interrogé au sujet de la dot, et sa réponse concise et catégorique a suscité l’attention du public.
» J’ai une seule fille, et je n’allais pas quand même la vendre. On m’a proposé une somme conséquente d’argent comme dot, mais je n’ai pris que quelques billets. Si tout le monde avait le même raisonnement que moi, tous les jeunes auraient pu se marier, alors que le taux de célibat est très élevé actuellement en raison des conditions imposées par les familles des jeunes filles. Pour se marier, ils exigent un logement à un milliard, il faut également 200, 300 millions de côté », a affirmé père de famille.
Il a ensuite souligné la nécessité pour certaines personnes de revoir leur position sur ce sujet. Il a exprimé son opinion selon laquelle un mariage dépend principalement de l’entente entre les deux conjoints.
Les internautes ont largement approuvé les propos du père de famille, soulignant l’importance de remettre en question les pratiques traditionnelles en matière de dot et de mariage. La vidéo de cette déclaration franche et pleine de bon sens a été partagée abondamment sur les réseaux sociaux et a suscité des discussions animées.
Contrairement au père kabyle, une jeune fille choque la toile
Lors d’un autre micro-trottoir organisé par la Web TV « Dzair Tube » sur le thème du mariage, une jeune femme a exprimé des opinions controversées qui ont déclenché une vive réaction parmi les internautes.
Au cours de l’interview, cette jeune femme a énuméré un ensemble de conditions qu’elle considère essentielles pour son futur mari, soulevant ainsi des questions sur les attentes et les normes associées au mariage en Algérie. Elle a déclaré, de manière directe, « Il faut que mon futur mari ait un emploi stable, qu’il possède une voiture. Je demande également une dot de 50 millions de dinars. Cependant, si c’est une personne sympathique mais qu’il ne remplit pas ces critères financiers, je ne le mettrai pas sous pression. » Ces exigences financières et matérielles ont immédiatement suscité des réactions mitigées parmi les internautes.
Parmi les déclarations qui ont le plus frappé l’audience, la jeune femme a affirmé : « Pourquoi un homme pauvre devrait-il se marier ? Il ne devrait pas se marier. Il vivrait dans la misère toute sa vie. » Cette affirmation a provoqué l’indignation et la colère de nombreux internautes, qui ont vivement critiqué ces propos comme étant insensibles et déconnectés de la réalité.
La réaction passionnée face aux commentaires de la jeune femme reflète les tensions et les débats en cours au sein de la société algérienne concernant les valeurs et les attentes en matière de mariage. Certains soutiennent que de telles exigences matérielles peuvent entraver la véritable nature de l’amour et la construction de relations solides, tandis que d’autres défendent l’idée que ces exigences sont pragmatiques et nécessaires pour garantir la stabilité financière et la sécurité des conjoints.
Il est évident que le débat sur les normes et les attentes liées au mariage en Algérie est complexe et qu’il révèle une diversité d’opinions. Le micro-trottoir et les réactions en ligne ont exposé la profondeur des désaccords et des préoccupations au sein de la société, tout en soulignant l’importance de ces questions pour de nombreux Algériens qui cherchent à comprendre et à définir les valeurs qui guideront leurs choix de vie et de mariage.
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