Les habitants d’Alger, qui subissent depuis des années les embouteillages quotidiens, peuvent enfin souffler. Ce jeudi marque une étape importante pour la capitale, avec la mise en service des deux premiers tronçons de la route reliant l’échangeur du 5 Juillet à Khraïssia. Une nouvelle qui réjouit les habitants d’Alger, impatients de voir leur ville respirer à nouveau. Cette ouverture partielle s’annonce comme une véritable bouffée d’air pour les automobilistes, notamment ceux qui circulent dans les communes situées à l’ouest et au sud d’Alger, où la densité du trafic atteint souvent des niveaux critiques.
Le projet, supervisé par le ministre des Travaux publics et des Infrastructures de base, Abdelkader Djaloui, en compagnie du wali d’Alger, Mohamed Abdelnour Rabhi, représente une avancée majeure dans le développement urbain de la capitale. Ces deux sections inaugurées s’étendent sur une distance de 7 kilomètres, allant de l’échangeur du 5 Juillet jusqu’à celui de la commune de Baba Hassen, tandis que la longueur totale du projet atteindra 10 kilomètres une fois terminé. Pour les habitants d’Alger, cette infrastructure est bien plus qu’une simple route : c’est un symbole d’espoir et de modernité.
Ce nouvel axe a été conçu pour fluidifier la circulation dans les zones les plus congestionnées, notamment à El Achour, Draria, Baba Hassen et Ouled Fayet. Chaque jour, des milliers de véhicules y transitent, provoquant de longues files d’attente et un stress constant. Grâce à cette mise en service, les habitants d’Alger pourront gagner un temps précieux dans leurs déplacements, tout en constatant une nette amélioration de la fluidité sur la rocade sud. Ce projet vient donc répondre à un besoin criant de désengorgement routier, un défi majeur que la capitale devait relever depuis plusieurs années.
Le secrétaire général de la wilaya d’Alger, Abdelrahmane Rahmani, a déclaré à la presse que cette route a été pensée comme un futur axe stratégique du réseau routier de la capitale. Une fois le troisième et dernier tronçon achevé, elle deviendra un véritable « shunt principal » reliant l’est et l’ouest de la métropole, facilitant grandement la circulation entre Bab El Oued et Khraïssia. Pour les habitants d’Alger, cette perspective est porteuse d’un changement concret dans leur quotidien, marquant la volonté des autorités de répondre aux attentes pressantes en matière de mobilité.
Mais ce n’est pas tout. Dans sa déclaration, Rahmani a également annoncé un autre projet ambitieux : la connexion de la nouvelle ville de Sidi Abdallah à cette route. Ce lien offrira un accès direct à Bab El Oued, renforçant la cohésion urbaine et ouvrant de nouvelles perspectives économiques. Les travaux pour cette extension sont programmés pour débuter en 2026, une annonce qui alimente déjà les discussions parmi les habitants d’Alger, conscients de l’impact positif qu’un tel aménagement pourrait avoir sur le développement global de leur région.
Cette initiative s’inscrit dans une dynamique plus large visant à moderniser les infrastructures de la capitale. De nombreux projets de travaux publics sont actuellement en cours d’exécution à Alger, et selon Rahmani, plusieurs d’entre eux devraient être livrés d’ici la fin de l’année ou au tout début de l’année prochaine. Ces projets s’inscrivent dans une stratégie d’aménagement cohérente, pensée pour améliorer la qualité de vie et renforcer la mobilité urbaine.
La mise en service de ces deux premiers tronçons est ainsi perçue comme une victoire pour les habitants d’Alger, les habitants d’Alger qui, chaque matin, affrontent les mêmes axes saturés et les mêmes retards, voient enfin le fruit d’années d’attente. Et les habitants d’Alger peuvent espérer, à travers ce projet, une nouvelle ère où les trajets domicile-travail ne seront plus synonymes de perte de temps et d’épuisement.
Au-delà du simple aspect pratique, cette réalisation témoigne d’une volonté de bâtir une capitale mieux structurée, plus fluide et plus agréable à vivre. Le développement de ce réseau routier moderne symbolise la transformation progressive d’Alger, qui aspire à devenir une métropole à la hauteur de ses ambitions. Cette bonne nouvelle s’inscrit donc dans un contexte d’espoir renouvelé pour tous ceux qui rêvent d’une capitale où se déplacer ne serait plus un défi quotidien, mais un plaisir retrouvé.