Immigration – Algérie visas et voyages – La polémique s’intensifie en Algérie à la suite d’une séquence de « twerk » devant des familles, survenue dans un centre aquatique à Alger.
Une vidéo mise en ligne sur les réseaux sociaux montre des vacanciers se succédant sur la piste de danse pour s’amuser. Cependant, l’attention a été attirée par deux danseuses qui ont opté pour une performance de « twerk » devant des familles présentes dans le centre aquatique. Cette scène a offensé de nombreux internautes et déclenché un débat en ligne. « Nous n’avons plus aucune honte, nous nous sommes occidentalisés », a regretté une internaute. « Il n’est plus possible de sortir en famille, c’est fini », a commenté un jeune homme.
Cette séquence de danse provocante dans un lieu public a donc suscité un débat enflammé sur les réseaux sociaux, avec des opinions divergentes quant à l’appropriation de ce type de danse dans la société algérienne. Certains internautes critiquent fortement cette exposition publique de danses suggestives, la considérant comme contraire aux valeurs et à la décence culturelles. D’autres soulignent que la société évolue et que les expressions artistiques modernes ne devraient pas être censurées, tant qu’elles respectent les limites et les contextes appropriés.
Il convient de noter que le « twerk » (de l’anglais « twerking ») est une danse sensuelle au cours de laquelle la danseuse secoue ses hanches et ses fesses de manière prononcée. Le terme lui-même est une fusion des lettres initiales du mot « twist » et des trois dernières lettres du mot « jerk », qui font référence à des mouvements de danse spécifiques.
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Incident relatif au twerk, problèmes d’eau courante en Algérie : la toile s’agite
Dans un autre registre, le secteur du tourisme en Algérie a été récemment secoué par un incident surprenant qui a provoqué l’indignation de nombreux observateurs. Un vacancier, séjournant dans un hôtel 4 étoiles, a été confronté à une situation pour le moins inhabituelle, qui a surpris et choqué de nombreuses personnes. L’événement en question a été partagé sur les réseaux sociaux par Mustapha Zebdi, président de l’Association de protection et d’orientation du consommateur et de son environnement (APOCE), suscitant ainsi la controverse.
Ce vacancier a fait une découverte surprenante lors de son séjour dans un hôtel censé offrir des prestations de haute qualité. Un problème sérieux d’approvisionnement en eau courante a poussé la direction de l’établissement à adopter une solution pour le moins inhabituelle : placer deux bonbonnes d’eau de 5 litres devant chaque chambre d’hôtel. Cette scène a créé un contraste frappant avec les attentes généralement associées à un établissement classé 4 étoiles, symbole de confort et de qualité.
La publication de Mustapha Zebdi sur Facebook s’est rapidement propagée sur les réseaux sociaux, suscitant un sentiment d’indignation parmi les internautes. L’aspect ironique de la situation n’a pas échappé aux Algériens, qui ont partagé des commentaires empreints d’humour et d’incrédulité face à la qualité du service offert par cet hôtel 4 étoiles.
Le vacancier lui-même n’a pas caché sa déception. Il a exprimé sa frustration face à cette situation inattendue dans un établissement qui se vante de détenir quatre étoiles, censées garantir qualité et confort. « Malheureusement, dans un hôtel 4 étoiles, vous vous retrouvez avec des bonbonnes d’eau de 5 à 10 litres », a-t-il déploré.
Dans la légende accompagnant la publication du président de l’APOCE, la dimension financière n’a pas été négligée. « Une nuit dans un hôtel 4 étoiles coûte très cher, pour finalement obtenir ce type de service », a souligné Zebdi. Cette réflexion met en lumière l’écart entre le coût élevé des séjours dans de tels établissements et les prestations offertes aux clients, mettant en évidence un élément crucial de l’industrie touristique : la satisfaction des visiteurs.
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