Un bébé miraculeusement sauvé d’une mort certaine en Algérie

bébé Algérie

Les récentes intempéries qui ont frappé plusieurs régions du pays ont failli tourner au drame, mais grâce à l’intervention rapide et coordonnée des services de la Protection civile, un bébé a été arraché à une mort certaine en Algérie. Ce bébé, pris au piège avec sa mère par des crues soudaines dans la wilaya d’El Bayadh, est aujourd’hui sain et sauf, un miracle dans un contexte où les eaux en furie ont mis en danger la vie de nombreuses personnes à travers l’Algérie. L’émotion suscitée par le sauvetage de ce bébé en Algérie illustre l’ampleur de la catastrophe naturelle qui a secoué le pays ces dernières heures.

Les faits se sont déroulés dans la commune de Stiten, où une femme et son nourrisson se sont retrouvés isolés au bord d’un oued gonflé par des pluies torrentielles. Les agents de la Protection civile, alertés à temps, sont intervenus dans des conditions extrêmes pour extraire la mère et son bébé de cette situation périlleuse. La tension était palpable, le courant d’eau devenant de plus en plus fort, menaçant d’engloutir le moindre obstacle sur son passage. En Algérie, ce type de phénomène météorologique est récurrent, mais il est rare qu’un bébé en si bas âge soit directement menacé, ce qui donne à ce sauvetage une portée particulièrement marquante.

Toujours dans la même wilaya, la commune de Cheguig a également été le théâtre d’un sauvetage complexe. Deux personnes, à bord d’un véhicule léger, ont été surprises par la montée brutale des eaux. Le véhicule, coincé en plein oued, ne laissait aucune échappatoire. Là encore, la réactivité des secouristes a permis d’éviter une tragédie. À Boualem, les interventions ont consisté à aspirer les eaux de pluie stagnantes devant deux habitations du quartier El Harsha, un geste vital pour prévenir d’éventuelles infiltrations dévastatrices.

Dans la wilaya de Laghouat, les dégâts causés par les intempéries ont mobilisé de nombreuses équipes. À El Maâmoura, une voiture coincée au bord d’une route inondée a été dégagée. Dans le quartier El Wiâm, l’eau a dû être pompée pour permettre aux habitants de retrouver un semblant de normalité. La commune de Brida, elle, a vu plusieurs interventions simultanées. Une voiture bloquée dans le lit de l’oued, dans l’ancienne zone de Brida, a été retirée avec beaucoup de précautions. À Ksar El Hirane, une situation encore plus critique s’est présentée : un camion et une voiture immobilisés dans le lit de l’oued Manas ont nécessité une opération minutieuse, menée dans un environnement instable et glissant.

Toujours dans la même wilaya, le cas le plus sensible, après celui du bébé en Algérie, reste sans doute celui de la famille composée de quatre personnes. Encerclée par les eaux déchaînées de l’oued Selessla, la famille n’avait aucun moyen de fuir. Grâce au professionnalisme des équipes sur place, tous ont été secourus sains et saufs, un dénouement heureux dans un contexte d’angoisse généralisée.

Dans la wilaya de Djelfa, les quartiers El Khounia et les 75 logements ont également été touchés. Les pompiers ont dû intervenir pour aspirer les eaux de pluie, notamment dans une habitation infiltrée, menaçant la sécurité de ses occupants. Une fois de plus, l’anticipation et l’expérience des secours ont permis de minimiser les risques.

Enfin, à Mascara, dans la commune de Mohammadia, les tunnels routiers ont été partiellement envahis par les eaux. Une opération de pompage a été déclenchée sans délai afin d’éviter des accidents, les automobilistes n’étant pas toujours conscients du danger que représentent ces accumulations soudaines.

L’ensemble de ces interventions montre l’ampleur des efforts déployés par la Protection civile dans des conditions extrêmes. Chaque geste, chaque sauvetage a compté, mais c’est surtout l’histoire du bébé en Algérie, sauvé in extremis, qui a retenu l’attention du pays. Ce bébé en Algérie, aujourd’hui sain et sauf, rappelle que derrière chaque crue, chaque catastrophe naturelle, il y a des vies humaines fragiles, et parmi elles, celle d’un bébé en Algérie dont la survie restera gravée comme un symbole d’espoir.