Voyage en Algérie : une interdiction mise en place

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Lorsqu’on planifie un voyage en Algérie, la découverte des espaces naturels est souvent un moment fort du séjour, mais cette année, voyager en Algérie exigera davantage d’attention en raison d’une interdiction majeure concernant les forêts de Tipasa. Les amateurs de voyage en Algérie devront ainsi adapter leurs projets d’escapades en pleine nature, car une décision officielle restreint désormais l’accès aux domaines forestiers pour la campagne anti-incendie 2025. Le wali de Tipasa, Ali Moulaï, a signé deux arrêtés essentiels pour encadrer cette nouvelle réalité du voyage en Algérie, illustrant la priorité accordée à la protection du patrimoine naturel.

Plus précisément, l’arrêté numéro 291 interdit formellement toute circulation de citoyens, de véhicules et de motocycles dans le domaine forestier, y compris toute activité de loisirs et de camping, impactant directement le voyage en Algérie pour les touristes et locaux. Dans le même temps, le second arrêté, numéro 192, fixe officiellement le calendrier de la saison de lutte contre les incendies, rendant cette mesure incontournable pour tout voyage en Algérie entre le 1er mai et le 31 octobre 2025. Cette période cruciale exige des voyageurs en Algérie une vigilance particulière pour respecter les nouvelles consignes.

En conséquence, tout projet de voyage en Algérie visant à explorer les forêts de Tipasa devra être repensé. Seuls les riverains, certaines associations et entreprises pourront accéder aux espaces forestiers sur autorisation spéciale délivrée par les chefs de daïra. La règle générale interdit la circulation récréative, le bivouac et même le stationnement aux abords des forêts, une contrainte notable pour ceux qui envisageaient un voyage en Algérie placé sous le signe de l’aventure en pleine nature. Cette décision montre combien les autorités considèrent la préservation des forêts comme essentielle pour maintenir intact le charme du voyage en Algérie.

À l’approche de la fête de l’Aïd el Adha, une période souvent associée à des rassemblements familiaux en extérieur, les restrictions s’appliquent sans exception. Allumer un barbecue dans une forêt devient désormais une infraction, affectant les habitudes culturelles mais soulignant l’urgence de sécuriser les forêts. Même pour ceux qui planifient une escapade en Algérie à cette occasion, il sera indispensable de se conformer à ces règles pour préserver la richesse écologique du pays.

Les agents des institutions publiques, en cas d’urgence, sont exonérés de ces restrictions, mais l’activité de production de charbon de bois est suspendue dans toute la région. Chaque projet de visite en Algérie devra donc intégrer ces éléments pour éviter toute infraction, sachant que toute violation des nouvelles consignes entraînera des sanctions prévues par la loi. Le rappel de la première interdiction, initiée en 2022 et reconduite depuis, montre à quel point ces mesures sont devenues une composante intégrale du voyage en Algérie durant l’été.

Selon Amel Mokrani, cheffe de service à la Conservation des forêts de Tipasa, ces restrictions ont permis de réduire sensiblement les départs de feu. Le voyage en Algérie peut donc continuer dans de bonnes conditions à condition de privilégier des espaces récréatifs spécialement aménagés pour cela, comme la forêt de Hadjout, la nouvelle forêt de Sidi Ghiles ou encore la forêt de la Crête à Tipasa. Pour les amateurs de nature, organiser un voyage en Algérie passera par le respect de ces zones sécurisées, garantissant ainsi une expérience agréable sans compromettre l’environnement.

À travers ces décisions, l’Algérie affirme sa volonté de protéger ses forêts tout en offrant aux voyageurs des alternatives adaptées. Pour tout voyage en Algérie durant la saison estivale, l’anticipation et le respect des règles seront donc les clés d’une expérience réussie, démontrant que le tourisme peut aller de pair avec la préservation de l’environnement. Ainsi, chaque voyage en Algérie deviendra un acte de respect envers une nature précieuse et vulnérable, au bénéfice des générations futures.