Immigration – Algérie Visas et Voyages – L’Algérie ouvre les bras aux investisseurs étrangers, à l’image du groupe italien Fiat et la société française Renault, qui vont entamer leurs activités prochainement, pour le plus grand plaisir des Algériens. Dans ce sillage, un autre géant de la fabrication automobile, se tient prêt pour reprendre du service en Algérie.
Le secteur de l’automobile a connu une longue léthargie en Algérie. Toutefois, il commence à se réveiller ces derniers temps. A ce sujet, de bonnes nouvelles ont été enregistrées durant la semaine dernière. Dans un premier temps, Abdelmadjid Tebboune a autorisé, dimanche 09 octobre, la reprise de l’importation des véhicules de moins de 3 ans.
De plus, le groupe italien Fiat a signé, jeudi 15 octobre, un contrat pour le lancement de la production en Algérie. À ce propos, le Ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, a affirmé que les premières voitures Fiat confectionnées localement seront attendues pour l’année prochaine.
Par ailleurs, le patron de Renault Algérie a également annoncé la réouverture prochaine des portes de son usine d’Oran. «Trois jalons importants, ces derniers jours, qui préparent la reprise prochaine de la production à l’usine de Renault Algérie Production d’Oran», a annoncé le représentant de la firme française en Algérie, Remi Houillons sur son compte Linkedin.
Du reste, un troisième constructeur d’engins automobiles de renom s’apprête également à reprendre ses activités en Algérie. Il s’agit de Kia Motors, dont l’usine située à la wilaya de Batna, n’attend plus que l’autorisation des autorités algériennes pour se lancer dans la production. Il est à noter qu’une importante délégation, conduite par l’ambassadeur de la Corée en Algérie s’est rendue au niveau de cette unité, le mois de mai dernier, cela afin de visiter les équipements qui étaient sur place.
Selon des sources proches de « Global Group », partenaire de l’entreprise en Algérie, Kia est disposé à répondre favorablement aux conditions exigées par le gouvernement dans le secteur. Ainsi, le constructeur asiatique promet de créer des centaines de postes d’emploi, et s’engage à procéder à un taux d’intégration de plus de 50% des produits nationaux dans la fabrication des véhicules.
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