Algérie Turquie– De nouveaux vols de rapatriement vers la Turquie, sont prévus à partir de la mi-novembre. Ces vols spéciaux seront au départ de l’aéroport Houari Boumediene d’Alger. Ils auront, comme point d’arrivée, l’aéroport Bahçeköy d’Istanbul.
Ainsi, l’ambassade de Turquie à Alger a annoncé, dans la soirée d’hier 5 novembre, la programmation de quatre (04) nouveaux vols de rapatriement vers la Turquie. Il s’agit donc de la troisième phase de vols spéciaux à destination du pays transcontinental. L’information en question, a été publiée sur le compte Facebook officiel de la représentation diplomatique turque en Algérie.
Ces vols de rapatriement vers la Turquie seront programmés entre le 15 novembre et le 30 décembre. Néanmoins, l’opération de vente des billets débutera cette semaine. Toute personne désirant acquérir le fameux sésame, qui lui permettrait d’embarquer à bord de ces liaisons spéciales, devrait se présenter à l’une des agences de la compagnie aérienne Turkish Airlines en Algérie. Ces dernières sont sises à Alger, Constantine et Oran. Elles sont ouvertes tous les jours, y compris les week-end, de 09h00 à 16h00.
Toutefois, l’ambassade turque a bien précisé que ces vols de rapatriement vers la Turquie ne sont consacrés, qu’à certaines catégories de voyageurs. Par conséquent, les détenteurs de la nationalité turque, ainsi que les ressortissants algériens mariés à des citoyens turcs, pourront bien évidemment embarquer à bord de ces liaisons spéciales. D’autres personnes pourraient également emprunter ces vols de rapatriement. La représentation diplomatique turque, a mentionné à cet effet, les algériens étudiant en Turquie. Mais également, les algériens se rendant en Turquie dans le cadre de missions ainsi que ceux désirant y recevoir des soins.
Vols de rapatriement vers la Turquie : même sort pour les vols commerciaux ?
Par ailleurs, l’ambassade de Turquie en Algérie a tenu à informer que, mis à part les vols de rapatriements, aucun autre vol ne peut être programmé pour le moment vers ledit pays. Et ce, pour cause du maintien de la fermeture de l’espace aérien turc, pour des raisons sanitaires. Cependant, la même représentation diplomatique pourrait accorder des dérogations à des entreprises turques établies en Algérie.