Un vol Paris-Alger frôle la catastrophe : Air France donne de nouvelles précisions

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Voyages et immigration – La compagnie aérienne française, Air France s’est exprimée au sujet de l’incident qui a eu lieu à bord de son vol reliant Paris et Alger il y a quelques jours.

Un avion d’Air France, qui effectuait la liaison Paris Orly-Alger il y a quelques jours a en effet connu un sérieux incident en plein vol. Selon le média spécialisé The aviation Herald, l’appareil de la compagnie française a subi une panne de son moteur gauche alors qu’il était en plein vol au dessus de la Méditerranée, ce qui a forcé l’équipage à faire demi-tour pour atterrir à l’aéroport de Paris Orly.

Le même appareil a également connu un incident similaire le lendemain, alors qu’il faisait la liaison Paris Orly-Perpignan. Un incendie s’est en effet déclaré sur le moteur gauche de l’avion, ce qui l’a forcé encore une fois à retourner vers son aéroport de départ où il a pu se poser en toute sécurité.

Air France s’exprime sur l’incident de son vol Paris-Alger

Dans ce contexte, Air France s’est exprimée et a apporté de nouvelles précisions au sujet de l’incident qui a eu lieu sur son vol Paris Orly-Alger de la semaine écoulée. Dans des déclarations rapportées hier samedi par Le Midi Libre, la direction de la compagnie française a ainsi démenti une panne moteur sur son avion, mais explique son retour à Paris par le besoin de « réaliser un check du réacteur gauche ».

Selon la même source, l’appareil volait également sans passagers à bord, puisque Air France assure le transport des voyageurs uniquement sur la ligne Paris CDG-Alger. « Il s’agissait d’un problème électrique sur le moteur gauche qui nécessitait une action de maintenance, un contrôle impossible à effectuer sur l’aéroport d’Alger. Donc, l’équipage a préféré rentrer sur Orly », a expliqué la direction d’Air France.

Air France refuse ainsi de parler de véritable panne puisque selon ses dires, l’incident qui s’est produit sur le vol Paris-Alger se résume à « une alarme de check qui s’est déclenchée, un souci logistique qui contrairement à celui de Perpignan n’a pas débouché sur un atterrissage prioritaire. ».

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