Immigration – Algérie visas et voyages – Une Algérienne de France a récemment lancé un appel à la diaspora algérienne concernant les friandises, dont les chocolats, qui sont souvent transportées lors des voyages à destination de l’Algérie. Elle a exprimé sa préoccupation quant au coût élevé de ces produits et a appelé à mettre fin à cette pratique.
L’importation de produits alimentaires en Algérie est soumise à des restrictions strictes, ce qui a conduit de nombreux membres de la diaspora à transporter des friandises lors de leurs voyages vers le pays d’origine. Ces friandises comprennent souvent des chocolats, des bonbons, des chips, des pistaches, des cacahuètes et des noix, entre autres choses.
» C’est devenu cher, venez on arrête cette habitude « , a lancé d’emblée l’Algérienne établie en Hexagone. » Minimum 300 euros de bonbons, chocolats, chips, pistache, cacahuètes et noix « , a-t-elle ajouté en montrant ses courses faites à l’occasion de son départ à destination de son pays d’origine, à savoir l’Algérie. L’Algérienne de France a donc appelé ses compatriotes à cesser cette pratique coûteuse et donc à envisager d’acheter des produits locaux en Algérie. Ceci aiderait à soutenir l’économie locale et à réduire les coûts pour les voyageurs.
Il est à signaler qu’un autre algérien de France a confié à DNAlgérie dépenser entre 280 et 500 euros en achetant des chocolats et des fromages pour son voyage, sachant qu’il a une famille nombreuse. » J’achète surtout des produits que ne trouve pas en Algérie, tels que le caprice des dieux, le fromage de chèvre président, de bons chocolats Lindt ou Ferrero « , a-t-il affirmé. Ce coût élevé s’ajoute aux dépenses déjà élevées associées aux voyages internationaux, tels que les billets d’avion, l’hébergement et les dépenses quotidiennes.
Notons que, cette habitude ne concerne pas seulement la diaspora algérienne. De nombreuses autres communautés immigrées dans le monde ont également tendance à transporter des produits alimentaires et des souvenirs lors de leurs voyages de retour dans leur pays d’origine. Cependant, l’impact de cette pratique varie d’un pays à l’autre et peut avoir des conséquences économiques différentes selon la situation locale.
En fin de compte, il est important de réfléchir à l’impact de nos habitudes de consommation, même lorsqu’il s’agit de petites choses comme des friandises. Nous devons nous demander si nos choix ont des conséquences positives ou négatives pour les communautés et les économies locales. En choisissant de soutenir les produits locaux, nous pouvons tous contribuer à soutenir les économies locales.
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