Immigration – Algérie visas et voyages – Les Algériens établis à l’étranger ont pris l’habitude de ramener de l’huile d’olive lors de leurs voyages en Algérie. Récemment, une rumeur circulant sur les réseaux sociaux a semé la confusion en affirmant que la quantité d’huile d’olive autorisée pour les voyageurs serait désormais limitée, ce qui a suscité un grand émoi au sein de la communauté algérienne à l’étranger.
Contacté par DNAlgérie, un responsable de la douane algérienne a affirmé qu’aucune restriction n’est en vigueur sur ce produit. Il rappelle que les restrictions concernent exclusivement les produits subventionnés par l’État algérien, tels que le couscous, l’huile de table, le sucre, et d’autres produits similaires. En aucun cas, l’huile d’olive n’est visée par ces limitations.
Cette clarification est essentielle pour dissiper toute confusion et rassurer les Algériens de la diaspora qui ont l’habitude de rapporter de l’huile d’olive d’Algérie, réputée pour sa qualité et son goût authentique. Les voyageurs peuvent donc continuer à ramener de l’huile d’olive sans craindre de se heurter à des restrictions.
L’huile d’olive algérienne est depuis longtemps appréciée non seulement en Algérie mais également dans le monde entier. Elle est réputée pour sa saveur riche et ses propriétés nutritionnelles bénéfiques. De nombreux Algériens à l’étranger considèrent l’huile d’olive d’Algérie comme un véritable trésor culinaire et ne manquent pas de la rapporter lors de leurs visites en Algérie.
Cette précieuse huile est utilisée dans de nombreuses préparations culinaires traditionnelles, ajoutant une touche d’authenticité et de saveur aux plats. De plus, elle est souvent offerte en cadeau aux proches et amis à l’étranger, témoignant ainsi de la générosité et de l’attachement des Algériens à leur culture gastronomique.
L’huile d’olive algérienne est produite dans plusieurs régions du pays, notamment dans les montagnes de Kabylie, la région de Constantine, et la vallée du M’zab. Chaque région apporte ses propres nuances de goût et de caractère à l’huile d’olive, ce qui en fait une denrée prisée par les amateurs de cuisine du monde entier.
Voyages en Algérie : huile d’olive en grande quantité, une Algérienne de France moquée
Les réseaux sociaux ont récemment été le théâtre d’une nouvelle controverse impliquant une Algérienne résidant en France, qui a attiré l’attention des internautes en raison de la quantité impressionnante d’articles qu’elle a rapportés dans ses bagages à la suite d’un voyage en Algérie. Les vidéos qu’elle a publiées sur les réseaux sociaux ont exposé la diversité et l’abondance des articles qu’elle avait choisi d’emporter avec elle, suscitant ainsi une gamme de réactions contrastées parmi les internautes.
Les voyages internationaux sont souvent l’occasion de rapporter des souvenirs et des produits locaux en guise de rappel de l’expérience vécue. Cependant, cette Algérienne a été l’objet de railleries de la part de certains internautes en raison de la nature inhabituelle et de la quantité des articles qu’elle avait décidé de ramener. Parmi les éléments mis en évidence dans ses vidéos figuraient une grande quantité d’huile d’olive, des robes, du couscous, des gâteaux traditionnels, des bijoux, ainsi que des souvenirs de Kabylie.
Les commentaires publiés en réaction à ces vidéos ont oscillé entre le ton léger et humoristique d’un côté, et des réflexions plus sérieuses de l’autre. Certaines critiques ont été formulées avec une pointe de taquinerie, comme celle d’un internaute qui a plaisanté en disant : « Elle a pris toute l’huile d’olive de Kabylie. » D’autres internautes ont adopté un ton sarcastique, posant des questions telles que : « L’huile, le couscous, et puis quoi d’autre ? »
Cependant, au-delà de l’humour, quelques commentateurs ont émis des réflexions plus sérieuses sur le comportement de la voyageuse. Ils ont souligné que le geste de rapporter une grande quantité d’articles dans ses bagages pouvait sembler excessif. Une internaute a admis : « Je fais partie des personnes qui font la même chose. J’avoue qu’on abuse. » Cette observation met en lumière le fait que certains voyageurs, bien qu’ils apprécient l’idée de rapporter des produits de leur pays d’origine, reconnaissent parfois que leur enthousiasme peut les pousser à exagérer dans leur accumulation d’articles.
Lire également :