Voyages en Algérie : il paie une addition salée à l’aéroport d’Alger, la toile s’enflamme

Aéroport Alger addition

Actualités Voyager est une expérience passionnante qui nous permet de découvrir de nouveaux horizons, de vivre des aventures et de goûter à la diversité du monde. Cependant, il peut y avoir des aspects moins agréables de la voyage, comme les coûts imprévus qui surgissent à l’aéroport. Récemment, un voyageur a partagé son expérience à l’aéroport international d’Alger, enceinte dans laquelle il a payé une addition salée, suscitant une vague de réactions sur les réseaux sociaux.

Dans un post Facebook qui est devenu viral, ce passager a exprimé sa consternation face aux prix exorbitants pratiqués à l’aéroport d’Alger. Sa facture, totalisant 1.400 dinars, est devenue le sujet central de son post. Lorsque l’on examine de plus près la liste des consommations, elle semblait bien minime : deux cafés et une petite bouteille de jus. Le coût de ces articles aurait normalement été d’environ 100 dinars en dehors de l’aéroport.

La surprise de ce voyageur était palpable, et il a partagé son étonnement dans son post en notant : « Un café à 500 dinars et une bouteille de jus à 400 dinars ! ». Cette publication a immédiatement capté l’attention des internautes, générant plus de 3 400 commentaires en réaction. Ce qui aurait dû être une simple pause café s’est transformé en un débat en ligne animé.

Les commentaires sur le post du voyageur étaient variés, reflétant une gamme d’opinions divergentes. Certains internautes ont exprimé leur sympathie envers le voyageur, convaincus que les prix à l’aéroport étaient exagérés. D’autres, en revanche, ont pris une position plus critique, suggérant que le voyageur aurait pu éviter ces coûts en consommant à l’extérieur de l’aéroport.

Parmi les commentaires, on pouvait lire des réponses comme : « T’aurais pu la boire dehors pour ensuite accéder à l’aéroport », soulignant la possibilité d’économiser de l’argent en évitant les prix élevés à l’intérieur de l’aéroport. D’autres ont adopté une position plus pragmatique en déclarant : « Nul ne t’as obligé à consommer sur place, donc paie et tais-toi ». Cette réponse reflète l’idée que les voyageurs ont un choix en matière de consommation et que le paiement des tarifs de l’aéroport est une décision personnelle.

Addition salée à l’aéroport d’Alger : un Algérien de France choqué

Récemment, un autre voyageur algérien établi en France a partagé son expérience d’achat de souvenirs à l’aéroport d’Alger, mais il a été pris au dépourvu par les tarifs pratiqués dans les boutiques.

Dans sa vidéo, ce voyageur a exprimé son intention d’acquérir de petits souvenirs pour sa famille et ses amis à Paris. Il a donc décidé de parcourir les boutiques de l’aéroport pour découvrir ce qu’elles proposaient. Il a été accueilli par un large éventail de souvenirs, allant des bijoux aux tableaux, en passant par les aimants. L’aéroport d’Alger dispose également d’une sélection de vins algériens, d’une librairie et de cartes représentant les différentes régions du pays.

Cependant, ce qui a véritablement étonné le voyageur, ce sont les prix de certains articles. Il a pris l’exemple des gâteaux traditionnels algériens, souvent offerts en cadeau, mais il a été stupéfait par les prix. Il a noté qu’un coffret de ces délices culinaires atteignait 6 000 dinars, soit environ 26 euros selon le taux de change actuel. Il a également mentionné que l’huile d’olive et le miel étaient considérés comme « excessivement chers ». Confronté à ces tarifs élevés, le voyageur a finalement opté pour des dattes, les jugeant comme offrant le meilleur rapport qualité-prix.

Les commentaires du voyageur concernant les prix des souvenirs à l’aéroport d’Alger ont suscité une variété de réactions parmi les internautes. Une utilisatrice a partagé son point de vue en notant que les prix à l’aéroport d’Alger semblaient nettement plus élevés que ceux pratiqués à Orly et Roissy-Charles de Gaulle (CDG) à Paris. D’autres internautes ont renchéri, manifestant leur surprise face à la disparité des prix et mettant en évidence le coût élevé des souvenirs à Alger.

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