Immigration – Algérie visas et voyages – Le déchirement lié à l’immigration est une expérience émotionnelle profonde, souvent teintée de nostalgie et de chagrin. Récemment, une vidéo poignante a émergé, montrant un père de famille algérien en larmes après son départ de l’Algérie pour la France.
Dans la vidéo qui a été partagée par sa fille, on peut voir un homme algérien visiblement bouleversé par son départ de son pays natal. Il exprime sa tristesse et sa nostalgie avec des mots empreints de douleur. « Je ne vais pas bien. Vu que je suis venu d’Algérie, ça ne va pas », confie-t-il, les larmes aux yeux. Ses mots décrivent une profonde mélancolie et un sentiment de perte intense. « J’ai quitté l’Algérie, j’en peux plus, j’ai marre de la France« , ajoute-t-il, exprimant le mal du pays que ressentent de nombreux immigrants.
L’homme poursuit en disant : « J’ai envie de repartir en Algérie. Elle me manque trop. » Ces mots reflètent la puissance de l’attachement à son pays d’origine. L’amour et le lien profonds que l’on ressent envers sa patrie d’origine ne disparaissent pas facilement, même lorsque la décision de partir est prise pour des raisons pratiques ou économiques.
Cette vidéo a suscité de nombreuses réactions et a mis en lumière la réalité émotionnelle et complexe de l’immigration. Pour de nombreux immigrés, le départ de leur pays d’origine est un choix difficile, souvent motivé par la recherche d’une vie meilleure, de nouvelles opportunités économiques ou de meilleures conditions de vie pour leur famille. Cependant, ce choix est souvent accompagné d’un profond déchirement émotionnel, de laissés-pour-compte et d’une longue période d’adaptation à un nouvel environnement.
@dnalgerie
Algérie : outre le père de famille, un touriste français au bout de sa vie
il est à signaler qu’un touriste français a également exprimé sa déception et son malaise à la suite de son récent voyage en Algérie. De retour en France, il témoigne d’un changement drastique dans son environnement, caractérisé par un climat morose et des gens semblant axés sur leur individualisme, dépourvus de sourires et préoccupés uniquement par leurs propres préoccupations. Selon lui, cette réalité contrastait fortement avec l’expérience qu’il avait vécue en Algérie, où les gens étaient chaleureux, accueillants et prêts à tendre la main à autrui.
Ce ressortissant français partage ses impressions après avoir quitté le sol algérien, en exprimant sa tristesse face au changement d’atmosphère à son retour en France. Il déplore le temps maussade et l’attitude individualiste des gens, décrivant une absence de sourires et un visage renfrogné généralisé. Il souligne cette nette opposition avec son expérience en Algérie, où les gens étaient affables, prêts à accueillir et à venir en aide aux autres.
Le touriste français partage une anecdote illustrant son arrivée à Constantine, une ville de l’est de l’Algérie, où il se trouvait dans l’incapacité de changer de l’argent pour prendre un taxi. Face à cette situation, il raconte comment même un policier lui a généreusement proposé de l’inviter chez lui, lui offrant ainsi son hospitalité. En revanche, en France, il rencontre une réponse moins favorable de la part de ses amis lorsqu’il leur demande s’ils peuvent venir le chercher à l’aéroport. Ils lui expliquent qu’ils n’ont pas de voiture ou qu’ils sont occupés au travail. Cette différence de mentalité entre les deux pays l’attriste après son départ d’Algérie.
Le touriste français exprime clairement sa préférence pour l’attitude des Algériens, soulignant leur générosité et leur sens de l’hospitalité. Selon lui, les habitants de ce pays font preuve de solidarité et sont disposés à apporter leur aide aux autres, contrairement à la France, où il perçoit une attitude plus individualiste. Il conclut en affirmant que, bien que cela puisse déplaire à certaines personnes, il considère cela comme une évidence. Pour lui, les gens en France semblent être déshumanisés, tandis que ceux en Algérie incarnent véritablement l’humanité dans toute sa splendeur.
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