Immigration – Vols Algérie France – Le fameux sac Tati est un incontournable de la culture populaire en Algérie et pour de nombreux Algériens vivant à l’étranger, c’est un symbole de leur pays d’origine. Une Algérienne établie en France a voulu rendre hommage à ce sac en publiant un message sur un groupe Facebook dédié aux voyages. Chose qui lui a valu des critiques.
Le sac Tati, vendu dans les célèbres magasins éponymes, est reconnaissable à ses rayures rouges et blanches. Il est devenu un accessoire de mode très populaire en Algérie et est utilisé comme sac de courses, sac de plage ou sac à main. Pour de nombreux Algériens, il est indissociable de leur culture et de leur identité.
L’Algérienne qui a publié ce message a été surprise de la réaction qu’elle a suscitée. En quelques heures, sa publication a été partagée des centaines de fois et a généré des centaines de commentaires d’Algériens établis à l’étranger, nostalgiques de leur pays d’origine. Certains ont partagé des anecdotes personnelles sur leur relation avec le sac Tati. Par ailleurs, d’autres internautes se sont moqués de la jeune fille, car estimant qu’il n y avait pas lieu de rendre hommage à un sac !
L’énorme succès d’un Algérien de France fait parler
Dans un tout autre contexte, le média français Nice Matin a rendu un hommage élogieux à un coiffeur algérien ayant connu un grand succès à Cannes, ville du sud de l’Hexagone. Hamid, dont personne dans sa famille n’était coiffeur, a bâti sa réputation sur sa maîtrise de la coupe de cheveux dans sa ville natale de Chlef en Algérie. Sa passion pour la coiffure a commencé lorsqu’il avait 15 ans et aimait fréquenter un salon propre et élégant. Il a commencé sa carrière comme assistant, en nettoyant le sol, en achetant des produits et en servant le café avant de pouvoir commencer à coiffer les clients.
» Au début, je me suis fait embaucher pour nettoyer le sol, acheter les lames et produits, servir le café… et puis un jour, un fauteuil de coiffeur s’est libéré, et comme je m’y intéressais de près, j’ai pu débuter. J’ai d’abord appris sur le tas, avant même d’obtenir mon CAP. », a-t-il confié au média régional.
Avec le soutien de son père, il a ouvert son propre salon en Algérie, où il a travaillé avec son frère. L’entreprise est prospère et compte maintenant quatre employés. Hamid a décidé d’étendre son entreprise en France et a racheté le fonds de commerce de Sophia à Cannes en 2021. Il a donné à ce local un nouveau souffle et a ouvert un nouveau salon, HB Barber Shop, quelques mètres plus loin.
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