Voyage en Algérie – « Ici, on n’est pas en France ! » : traité de radin, un touriste étranger s’emporte (Vidéos)

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Algérie actualité L’Algérie, terre riche en histoire et en paysages époustouflants, attire de plus en plus de touristes du monde entier. Outre les produits subventionnés par l’État à des prix dérisoires, un autre avantage séduit particulièrement les visiteurs : un taux de change très favorable. Un touriste ayant récemment visité l’Algérie a eu une mauvaise expérience, le poussant à réagir fermement, tout en citant la France.

Sur le marché parallèle des devises, un euro s’échange contre environ 240 dinars algériens, offrant ainsi une opportunité économique aux touristes européens, même ceux au salaire minimum, de profiter d’un séjour à moindre coût.

Cependant, derrière cette aubaine financière se cachent parfois des expériences mitigées, comme en témoigne un touriste français récemment arrivé en Algérie. À travers sa chaîne TikTok, suivie par près de 20 000 abonnés, il partage ses impressions et suscite le débat sur le coût de la vie et les pratiques locales.

Pour lui, l’argent n’est pas le cœur du problème. Il relate une situation où un chauffeur de taxi lui a proposé une course, initialement estimée à « 350 dinars par l’application Yassir (VTC) », pour finalement atteindre « 1 000 dinars ». Face à cette augmentation inattendue, le touriste refuse de monter, même si le chauffeur accepte de réduire le prix à « 800 dinars ».

Les réactions sur les réseaux sociaux ne tardent pas à se manifester. Certains internautes reprochent au touriste français de faire preuve de radinerie, arguant qu’il n’hésite pas à payer davantage en France sans sourciller. Dans un échange houleux, l’un des commentaires lance au touriste : « En France, tu prends des Uber à 50 €, et en Algérie, tu négocies pour 5 ou 10 € ! Bande de fatigués ! »

Le touriste réplique avec conviction, soulignant que son refus de monter dans le taxi à un tarif gonflé n’est pas motivé par des considérations financières, mais plutôt par des principes. « Ici, on est en Algérie, pas en France. Je ne comprends pas pourquoi vous convertissez les devises. Que 1 000 dinars équivalent à 5 ou 10 €, moi, je m’en fous. Ce n’est pas une question d’argent, mais de principes », affirme-t-il.

Il insiste sur le fait qu’il est venu en Algérie avec l’intention de vivre comme un local. Il souligne que s’il était un Algérien résidant en Algérie, il ne hésiterait pas à payer 1 000 dinars pour cette course, montrant ainsi son respect pour les pratiques locales.

En guise d’illustration des tarifs en Algérie, le touriste français partage une expérience positive. Il relate qu’un chauffeur de taxi lui a proposé un aller-retour entre son hôtel et Alger-Centre le matin, ainsi qu’un trajet jusqu’à Bab El Oued, tout en lui faisant découvrir les spécialités locales, le tout pour 1 200 dinars.

@gwekovitch

1OOO DZD un Taxi ???? algerie algeria alger

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@gwekovitch

Réponse à @нσɕιηє

♬ son original – Gwekovitch

Cette anecdote souligne la diversité des expériences que les touristes peuvent rencontrer en Algérie, où la négociation fait partie intégrante du quotidien. Elle met également en lumière l’importance de comprendre et de respecter les pratiques locales, au-delà des considérations financières, pour vivre une expérience de voyage authentique et enrichissante. En fin de compte, chacun est invité à explorer ce magnifique pays avec une ouverture d’esprit et une compréhension des nuances culturelles qui le rendent unique.

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