Actualités – Les péripéties du voyage sont parfois inattendues, comme en témoigne une récente mésaventure avec la compagnie aérienne française Transavia, vécue par une mère de famille. Sur un groupe Facebook dédié aux voyages, elle relate comment un problème d’identification a occasionné une perte financière substantielle de 1200 euros.
Le 14 octobre, cette famille s’apprêtait à embarquer pour un vol Transavia, depuis l’aéroport d’Orly à destination de Tunis. Malgré une organisation minutieuse du voyage, un obstacle inattendu a surgi lors de l’enregistrement. Le conjoint de la mère a été informé que sa pièce d’identité était jugée inutilisable, surtout pour un voyage en direction de la Tunisie. Une situation d’autant plus surprenante que cette pièce était valide et conforme aux critères de voyage, particulièrement pour se rendre dans un club de vacances.
Dans le but d’obtenir des conseils et du soutien, la mère partage son récit sur ce groupe Facebook et cherche des avis. Elle pose des questions clés, demandant si d’autres voyageurs ont déjà rencontré une situation similaire et comment ils ont résolu le problème pour obtenir un remboursement. Elle insiste sur la perte de 1200 euros, une somme considérable pour sa famille, soulignant le désarroi causé par cet argent « gaspillé », ajoutant à une situation déjà difficile.
» Transavia ne veut rien savoir alors que je n’ai absolument rien trouvé dans leurs conditions stipulant qu’un pièce d’identité peut être refusée car elle est corné ( toutes les informations sur la pièce sont lisible ) de plus on est déjà partit avec cette pièce plusieurs fois en voyage sans problème. », regrette la dame.
La réaction initiale de Transavia a été frustrante pour cette famille. La mère explique que la compagnie n’a pas pris en compte leur situation, malgré l’absence de toute clause dans les conditions de Transavia qui autoriserait le refus d’une pièce d’identité en raison de dommages mineurs. Elle souligne également que cette pièce avait été utilisée à plusieurs reprises lors de voyages antérieurs sans aucun problème.
Outre la famille, deux voyageuses ont souffert avec Transavia
La situation ressemble à une succession de péripéties. Le 12 mars 2023, une anecdote hors du commun s’est déroulée, impliquant deux voyageuses qui ont mis une journée entière pour parcourir la distance entre Nantes et Marseille, rapportée par Ouest France le mercredi 15 mars 2023. Ce jour-là, à 16 heures, les passagers embarquent à bord du vol Transavia T07091. Parmi eux se trouvait une femme accompagnée de sa famille, venant de Plumergat, dans le Morbihan. Avant que l’avion ne décolle, le pilote demande à six passagers assis à l’avant de rejoindre l’arrière de l’appareil afin d’assurer l’équilibre de la masse de l’avion.
Le vol se déroule apparemment sans encombre. Cependant, lorsqu’il est censé atterrir à Nantes, tout ne se passe pas comme prévu. « Nous étions sur le point d’atterrir. L’avion se dégage des nuages. Nous étions à une altitude très basse, près des toits des maisons. Le pilote a remis les gaz pour reprendre de l’altitude. À ce moment, il annonce que nous allons atterrir à Paris-Orly », raconte la mère de famille à un journal régional. Finalement, l’atterrissage se fait à 18h23. La suite des événements est tout aussi mouvementée : « Après une heure et un simple verre d’eau, le pilote annonce que nous allons débarquer et qu’un représentant de Transavia nous prendrait en charge dès la sortie, avec une collation offerte et des bus qui nous amèneraient à Nantes. Mais nous n’avons vu personne », se souvient la Bretonne.
En plus, elle ajoute : « Nous étions perdus, donc nous avons cherché des informations avec d’autres passagers. Lorsque nous sommes allés au comptoir de la compagnie, un employé nous a dit qu’il était dans l’incapacité de nous renseigner sur la situation. À 20 heures, il a fermé son guichet et est parti, nous laissant sans réponse. » Tous les passagers doivent patienter jusqu’à 21 heures avant que deux membres du personnel de la compagnie ne prennent en charge la situation. On leur promet que deux bus les emmèneront à Nantes. Finalement, à 22h15, le départ est autorisé.
Malheureusement, les complications ne s’arrêtent pas là. Le bus transportant la mère et sa fille tombe en panne en cours de route. À 00h50, les passagers sont accueillis dans les locaux d’une société d’autoroutes pour se réchauffer. Ils devront attendre jusqu’à 14h15, le 13 mars, pour finalement être pris en charge par un bus les conduisant à destination.
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