Voyages et immigration – Une autre bonne nouvelle vient de tomber concernant la réouverture totale des frontières de l’Algérie. Le Dr Mohamed Bekkat Berkani, membre du comité scientifique de suivi de la pandémie de Covid-19 a en effet indiqué que la situation actuelle était propice pour cette décision.
La diaspora algérienne réclame le renforcement du programme de vols depuis plusieurs mois. À l’heure actuelle, le nombre de liaisons disponibles reste très faible en comparaison de la demande, ce qui s’est répercuté négativement sur les prix des billets. Au départ de la France notamment, les voyageurs doivent ainsi débourser 500 euros en moyenne pour un aller simple sur la ligne Paris-Alger.
Face à cette situation, il devient donc urgent d’augmenter le nombre de liaisons avec l’approche de la saison estivale, qui est caractérisée par une très forte demande sur les voyages à destination de l’Algérie. Plusieurs arguments plaident d’ailleurs en faveur de cette décision, le principal étant la situation sanitaire stable à la fois sur le territoire national et en Europe.
Réouverture totale des frontières en Algérie : bonne nouvelle
Dans ce contexte, une autre bonne nouvelle vient de tomber au sujet de la réouverture totale des frontières de l’Algérie. Le Dr Mohamed Bekkat Berkani, membre du comité scientifique de suivi de la pandémie de Covid-19, a une nouvelle fois plaidé en faveur de cette solution ce mardi 1er Mars.
« Il n’y a aucun empêchement sanitaire pour la réouverture totale des frontières. », a ainsi estimé le même spécialiste dans une déclaration accordée au média spécialisé Visa Algérie. « Il faut rendre la vaccination obligatoire pour les gens qui viennent. Pour les vaccinés, le test PCR ne doit plus être exigé. Seul un test antigénique à l’arrivée suffit. Les non-vaccinés, on peut leur exiger un test PCR de 48h. Le délai de 36h est très court. », a-t-il suggéré.
Notons que pour le moment, le gouvernement n’a encore annoncé aucune nouvelle mesure concernant la réouverture totale des frontières de l’Algérie. S’exprimant hier au forum de la Radio nationale, le ministre des transports Aïssa Bekkaï a indiqué que cette décision devait obéir à plusieurs conditions, dont principalement l’évolution de la situation sanitaire. « Le comité scientifique a son mot à dire sur le sujet », a-t-il également déclaré.
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