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Algériens de France : des révélations du célèbre réalisateur Djaffar Gacem font froid dans le dos (Vidéo)

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Immigration –  Algérie visas et voyages – Dans un récent podcast, le célèbre réalisateur algérien Djaffar Gacem a partagé des révélations troublantes sur les expériences vécues par de nombreux Algériens en France. Ses aveux mettent en lumière les difficultés auxquelles ils sont confrontés lors de leur installation dans le pays.

D’emblée, Djaffar Gacem évoque son propre parcours. « Je suis parti en France. Mes parents m’ont encouragé à le faire car c’était lors de la décennie noire. Je suis parti avec un visa de 30 jours, un cabas et 500 francs. » Cette introduction souligne les circonstances difficiles dans lesquelles de nombreux Algériens ont quitté leur pays d’origine pour chercher une meilleure vie en Hexagone.

Le réalisateur révèle ensuite les défis auxquels il a été confronté lors de son arrivée en France. Il témoigne des difficultés administratives pour obtenir les documents nécessaires à son séjour. Il mentionne également les problèmes de logement auxquels il a dû faire face, étant hébergé temporairement chez des amis qui ne pouvaient pas le loger indéfiniment. Il décrit la rudesse de Paris et ses conditions de vie précaires, allant jusqu’à se réfugier dans les sous-sols du métro pour se réchauffer.

Malgré ces épreuves, Djaffar Gacem a persévéré. Il a trouvé du travail dans le secteur de la restauration pour subvenir à ses besoins et financer ses études de cinéma à l’université de Paris 8. Il a dû refaire son diplôme pendant deux ans en raison d’un problème d’équivalence avant de pouvoir entamer sa carrière professionnelle.

Les révélations du réalisateur mettent en lumière les difficultés et les obstacles auxquels de nombreux Algériens sont confrontés lors de leur installation en France. Ces témoignages suscitent une prise de conscience sur les réalités vécues par les immigrés et mettent en évidence les sacrifices et les efforts qu’ils doivent consentir pour s’intégrer et construire une vie nouvelle. Outre cela, ces confessions mettent également en lumière la résilience et la détermination des Algériens qui font face à des défis considérables pour s’intégrer dans un pays étranger.

 

@dnalgerie

Algérie, France : récit glaçant de célèbre réalisateur Djaafar Gacem

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Algériens de France : révélations chocs du célèbre comédien Ramzy Bedia

Il est à rappeler que, le célèbre comédien Ramzy Bedia a également fait des révélations troublantes sur les expériences vécues par lui-même et de nombreux Algériens de France, mettant en lumière les difficultés et les humiliations auxquelles ils ont été confrontés, et ce lors de son récent passage sur la chaine de Télévision TF1.

Depuis ses débuts sur les écrans il y a près de trente ans, Ramzy Bedia, avec son regard espiègle, est devenu l’un des comédiens les plus appréciés en France. L’humour a toujours été son arme de prédilection. Faire rire pour se faire aimer est devenu son credo de vie, car le rire lui a permis de surmonter les humiliations et les épreuves.

« Je tiens mon sens de l’humour de ma grand-mère. Elle avait toujours des amies à la maison et je les voyais rire dans le salon, se raconter des blagues en permanence. Elle aimait aussi que je fasse des vannes », a confié l’acteur, dont les parents ont quitté l’Algérie pour la France en 1962, année de l’indépendance de l’Algérie.

« Ta gueule et intègre-toi », voilà ce que lui a dit son père à l’époque. « Il m’a inscrit dans une école catholique. Je récitais mes prières tous les matins. Le soir, quand je rentrais, je le voyais dans sa chambre, le front posé sur le sol, en train de prier. Je ne comprenais pas. ‘Mais papa, pourquoi je ne prie pas comme toi ?’ – ‘Sois comme les autres. Intègre-toi comme les autres.' »

Son père a travaillé dur pour un salaire minimum, travaillant jusqu’à l’âge de 80 ans « pour me payer une école privée parce que nous vivions à Gennevilliers, dans une banlieue difficile. Il m’a donc inscrit dans une école de la ville voisine », a confié l’acteur de 51 ans.

À l’école, la situation était compliquée pour Ramzy, qui se sentait invisible. « J’étais le seul rebeu de la classe, voire de toute l’école. Je n’avais pas les bonnes chaussures, les bons vêtements, ni de mobylette. À midi, tous les autres allaient au café, ce que je ne pouvais pas faire. » Cependant, cette solitude a été brisée en deux par l’humour. « J’ai commencé à avoir des amis, les filles me regardaient. Je suis devenu le comique de service. »

Ces révélations du comédien Ramzy Bedia mettent en lumière les difficultés et les discriminations auxquelles de nombreux Algériens de France ont été confrontés. Les expériences qu’il a partagées résonnent avec celles de nombreuses personnes issues de l’immigration, qui ont dû faire face à l’exclusion, à l’incompréhension et aux préjugés.

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